.... :'(
C’est super de me réconforter, mais est-ce que tu te rends compte de ce qu’il était pour moi ?
Certes ça ne faisait pas deux ans qu’on se connaissait… Mais en quelques mois, on s’est tellement rapproché….. J’avais l’impression qu’il avait toujours fait partie de ma vie.
L’impression de pouvoir tout partager avec lui….
Apparemment je me suis trompé. Apparemment il ne veut plus de moi. Il a sans doute cru que MOI je ne voulais plus de LUI. Mais c’est faux. Comme dans toutes les relations, on a eu des disputes… Oui, il m’a fait pleurer. De rire comme de tristesse. Oui des fois on se saoulait mutuellement. Oui il m’a aidé, plus que tous les autres. Oui je me suis attaché à lui. Oui je l’ai aimé. Oui on a passé des vacances ensemble. Oui c’était difficile de se parler quand on se voyait, parce qu’on était toujours entouré de 20 personnes, et qu’on s’était dit trop de truc intime, et personnel par sms. Oui on était comme des gamins. Oui il savait tous de moi. Oui il me manque. Oui je l’ai toujours adoré.
Oui je suis blessé maintenant qu’il n’est plus là. Je suis seule à présent. Seule dans le noir. Perdue. Je ne sais plus que faire. Plus comment réagir. Plus aimer, que ce soit en amitié ou en amour…
Mais pourquoi es-tu parti ? Je comprends que je sois chiante, voire très chiante à certains moments, mais est-ce une raison de partir ? C’est le fait que j’ai dit que tu me faisais pleurer ? Mais je n’y peux, ce n’est que la stricte vérité. Tu m’as fait pleurer. C’est à toi d’assumer ce que tu dis.
Mais non, tu disparais comme un fantôme. Et u me laisse seule dans un brouillard, où je ne trouve plus aucun de mes repères.
Et maintenant, je suis là, le cœur n bouillie, le cerveau prêt à exploser, le corps recroquevillé, les larmes inondant mes joues, à penser à toi, qui s’en fout de moi.
Tu es tellement bien avec tes amis. En fait, je n’étais qu’une bouche trou, c’est ça ? Ne nie pas. Jamais tu ne m’as parlé autrement que par sms. Quand on se voyait en vrai ? Pas un regard, tu m’ignorais. Juste un bonjour pour toute la semaine.
Alors oui ça fait mal. Oui même si, d’après ce que j’ai compris, toi, ça ne te fais rien de me quitter sans même me dire en revoir en face, sans même te retourner, moi, je ne suis pas insensible.
Ça me fait mal, plus que tu ne l’imagine. Oui je suis conne, de pleurer pour quelqu’un, parce que personne n’est indispensable. Mais c’est toi qui m’as aidé à remonter la pente, en me tenant la main.
Et maintenant, alors que j’étais presque au sommet, je dévale la pente à toute vitesse, et je me retrouve de nouveau au pont de départ.
Oui tu t’en fout, puisque maintenant tu es partis, tu ne prendras pas la peine de lire ce texte. Tu n’as jamais pris la peine de lire un seul de mes textes.
Mas même si tu ne le lis jamais, sache, que, tu me manques. Extrêmement. Et que malgré mon caractère de merde, si tu revenais, je t’accueillerais les bras ouvert.
Je t’adore, tu me manques.
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